Bouilles à biaise

6.12.06

VêTUe de qUelqUeS gRAmmeS de deNTeLLeS

Chère belle Impromptus, fantasme et virtuosité informatique,

Dès le premier instant que je te lis, je te trouvai belle, intéressante, vivante, séduisante. De penser sentir tes merveilleux seins se pressant dans mon dos, un soir, dans la cuisine, accentua l’intérêt et l’attirance que je te porte; et me permit de revoir la perspective que je te donnais…

Puis par on ne sait quel miracle, il y aurait ce premier baiser, ce brise-glace au milieu du Saint-Laurent. Un baiser interminable, doux et chaud, plein de promesses, comme une écluse qu’on ouvre… Un baiser comme celui de l’adolescente qui se fait encore surprendre à rêver au prince charmant.

Mais tu es mon objet, ma Barbie. Je te ferai donc que sentir Femme, entière, Absolue et fière. Dressée devant l’Univers. Heureuse, embourbée dans tes fils, puces et circuits…

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