27.10.05

mÉmoiRE fRagmEntÉE.

Mais qui diable a eu l’idée folle de planquer une bouche d’aération digne d’une robe de Marilyn au bon milieu de cet escalier déséquilibré et aux marches mouillées, avec cette fenêtre ouverte, tandis qu’au dehors souffle Wilma ou Bertha, je ne sais plus; et que je bondissais armé de mes béquilles neuves, le dernier jet de mon mémoire enfin fraîchement imprimé dans les bras?

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